En vidéo : Centre des congrès h2, l'avancée des travaux vue du ciel
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© Théo Levy Kolpak - Ville de Nîmes
Dans ce nouvel épisode de notre série « Nîmes vue du ciel », survolez le chantier du futur Centre des congrès h2 et suivez en images son impressionnante progression.
Quatrième épisode consacré au chantier du Centre des congrès h2, filmé depuis les airs. Après nos précédents survols en drone réalisés en octobre 2023, janvier 2024 et mai 2024, découvrez un nouveau point d’étape spectaculaire des travaux, actualisé en cette fin juillet 2025. Et dire que le chantier avance est un euphémisme !
Les travaux sont rentrés dans leur phase finale. Avec le départ de la deuxième grande grue, l’aspect définitif du bâtiment se dessine désormais clairement, avec la pose des vitrages, du parement en pierre, sur presque l’ensemble des façades extérieures, ou encore à l'intérieur avec la pose des escaliers et l'avancement du grand auditorium. Ouverture prévue en fin d'année.
Un auditorium de 672 places et 18 salles de réunion
Imaginé par l'agence d'architecture Chabanne (basée à Aix-en-Provence), en collaboration avec l'agence 3XN Architects (située à Copenhague), rappelons que h2 offrira des espaces innovants et modulables.
- Un auditorium de 672 places, chaleureux avec ses fauteuils aux couleurs de la toile de Nîmes et son habillage en bois clair. Éclairé naturellement grâce à de grandes baies, il voit déjà ses premiers éléments d’assemblage en place.
- 18 salles de réunion modulables, de 10 à 120 places, entièrement équipées. Elles s’organisent autour de vastes circulations ponctuées d’espaces de détente ouverts ou plus intimes.
- Un espace polyvalent de 700 m², entièrement modulable, bénéficie des courbes de la façade qui créent des jeux d’ombre et de lumière, tout en ouvrant sur le jardin archéologique du Musée de la Romanité.
- Une salle de restauration avec terrasse, située au dernier étage, offre une vue imprenable sur le jardin archéologique, le Musée de la Romanité et les Arènes, dans un cadre à la fois contemplatif et convivial.

L’intérieur du Centre des congrès prend forme lui aussi, comme en témoigne l’avancée des travaux dans l’auditorium.
© Stéphane Ramillon - Ville de Nîmes
Une implantation stratégique
L'implantation du Centre des Congrès en cœur de ville, dans un quartier riche en monuments antiques préservés, s'inscrit en parfaite continuité avec le Musée de la Romanité et son jardin archéologique. Cette localisation stratégique soutient le développement économique et touristique du territoire nîmois.
Un nouveau quartier
Avec l’arrivée du centre de congrès h2, le quartier de la Porte de France et rue Jean-Reboul entre dans une nouvelle ère. Pensé comme un véritable lieu de vie, ce projet emblématique transforme le cœur de ville : nouvelles placettes végétalisées, zones piétonnes étendues jusqu’à la rue Bigot, revêtements harmonisés avec ceux de l’Écusson, mobilier urbain repensé… Un espace public de 3 500 m² prend forme autour de h2, en synergie avec les équipements et monuments existants.
L’architecture du bâtiment, s’intègre avec justesse dans le paysage urbain, en résonance avec le jardin archéologique, qui sera lui aussi agrandi jusqu’aux façades de l’Hôtel-Dieu. Un nouvel itinéraire paysager conduira les visiteurs jusqu’au centre de congrès.
Autour de h2, plusieurs projets culturels et patrimoniaux renforcent l’attractivité du quartier : restauration de la Porte de France, mise en lumière du site, création d’un espace culturel dans la chapelle Saint-Joseph dédié à l’œuvre de Claude Viallat. Enfin, deux nouveaux hôtels 4 et 5 étoiles complèteront cette offre d’excellence, tout en respectant l’identité des bâtiments historiques.
Un engagement environnemental
Le projet architectural du Centre des Congrès se distingue par son démarche environnementale. Conçu dans une optique de développement durable, il vise à maîtriser les coûts sur le long terme tout en respectant les standards écologiques. Le bâtiment privilégie les matériaux locaux et écologiques, tels que la pierre de Lens, déjà utilisée à l’Antiquité pour la Maison Carrée.

© Stéphane Ramillon - Ville de Nîmes